Réflexions | 4 mars 2024

Petites histoires

Messager invite nos lecteurs à raconter une histoire en moins de 100 mots pour illustrer quelque chose qu'ils apprécient dans le fait de faire partie de l'Église des Frères.

Quel type de contenu recherchons-nous ? Une petite histoire a un début, un milieu et une fin. Ce n'est pas une opinion, ni une description, ni un petit essai. C'est un récit, le récit de quelque chose qui s'est passé. Nous vous invitons à raconter une histoire miniature qui transmet une chose que vous aimez à propos de l'Église des Frères. Vous n’êtes pas nécessairement obligé de dire de quoi il s’agit ; cela sera évident dans votre histoire.

Les soumissions doivent être envoyées par courriel à messager@brethren.org. La soumission indique l’autorisation de publier sous forme imprimée ou en ligne.

Les exemples suivants proviennent de Messager rédacteur Web Jan Fischer Bachman.

Joie du dimanche des jeunes

C'était le dimanche de la jeunesse. Nous avons fait circuler des conques et des fleurs pour que tous puissent s'émerveiller devant la magnifique création de Dieu. Les adolescents ont chanté, dansé et terminé le service en faisant des sauts dans l'allée. La matinée a été pleine de joie, de créativité et d'acceptation de l'expression des talents de la part de jeunes à qui on avait appris, après tout, « Ne courez pas à l'église ».


Une autre façon de faire la fête de l'amour

Le bâtiment comptait des congrégations parlant trois langues. L'église coréenne est venue à la fête de l'amour, apportant des plateaux de sushis et de pâtisseries pour rehausser le bœuf et les fruits râpés traditionnels. J'ai vu un pasteur plus âgé s'agenouiller devant un jeune garçon et lui laver soigneusement les pieds. J'ai vu l'humilité incarnée. Leadership serviteur. Accueillir les autres même si cela implique de changer les traditions. Une image vivante de Jésus.


Amour inattendu

Les plans du camp de travail de Sainte-Croix avaient mal tourné. Des jeunes se sont entassés hors des fourgonnettes louées dans un foyer pour adultes handicapés pour une matinée de service imprévue. Nous avons entendu des cris. Manifestement inquiets, des adolescents sont entrés à contrecœur et ont suivi les instructions pour accompagner les résidents jusqu'au jardin. Sous les arbres, certains faisaient des bulles, suscitant un plaisir visible. Une jeune fille a roulé une boule d’argile et l’a placée dans la main d’un homme aveugle et sourd. Il l'a frotté contre un serpent et l'a rendu, un échange répété qui est devenu une conversation muette. Les liens se sont développés au milieu des fleurs.
"Pouvons-nous revenir demain?"


Des faveurs enrichissantes

«J'ai une faveur étrange à demander», a-t-elle envoyé un texto. Oui, nous pourrions conduire trois heures pour récupérer un métier à tisser. En chemin, ma fille et moi nous sommes arrêtés pour prendre un café et avons marché jusqu'à une cascade. Une fois que nous avons eu le métier à tisser, nous avons déjeuné sur la véranda d’un restaurant d’une petite ville face à un parc avec un ruisseau. Lorsqu’elle a récupéré le métier à tisser, notre amie a appris à ma fille comment l’utiliser. Le « Brethren Transportation Service » tisse des relations.